mercredi 11 mars 2009

aquamour

Tout comme le cycle d'eau dans un désert affamé:
Tu es d'abord oasis, pleine et fraîche!
Soudain tu t'assèches, sans laisser de traces dans le vent sablé.
Tes vapeurs sont transparentes dans la chaleur de midi.
Tu t'assembles dans mes yeux, mirage...
Je t'oublies, pour moins souffrir jusqu'à ma mort.
Puis, une fois de plus, tu t'abats sur mes plaines:
Une pluie torrentielle sur 7 mètres carrés.
Et tu recommences à zéro.

1 commentaire:

Blackie-black a dit…

c'est pour moi comme pour toi alors
la colalady